Les rivalités !

Comme plusieurs d’entre nous, je déteste les Bruins de Boston. Ce n’est pas une question de manque de talent dans l’équipe, mais une question de vieille rivalité. Ensuite vient Toronto que nous aimons bien détester aussi. Et pour certains, ce sont eux qu’ils détestent à fond. Malheureusement, nous ne pourrons pas trop avoir de discussions enflammées avec des fans des Ours cette saison. Mais, la rivalité avec Toronto, contre qui nous jouerons plus d’une dizaine de matchs, risque de se raviver un peu plus cette année.

Il y aura certainement une rivalité avec toutes les équipes canadiennes. La saison couronnera assurément la meilleure équipe canadienne. Mais, la rivalité avec Toronto a toujours été présente. Celle avec Ottawa est une autre rivalité qui dure depuis longtemps, mais qui est moins intense. Rien pour nous rappeler la rivalité Québec-Montréal. Néanmoins, je suis convaincu que certaines rivalités vont se créer durant la saison partout dans la LNH et d’autres prendront de l’ampleur durant la saison. Ce sera une saison beaucoup plus intense que les autres saisons.




S’adapter à son rival !

Dans une saison écourtée comme nous le vivons présentement, il est important de faire les bons ajustements et de s’adapter à l’équipe adverse. Évidemment, l’autre équipe va tenter de faire la même chose. En plus d’avoir une bonne équipe, il faut être capable de changer son plan match pour ne pas se faire contrer facilement par l’adversaire puisque nous les affrontons souvent. Il faut donc une bonne capacité d’adaptation des joueurs et des entraîneurs aussi.

La meilleure équipe ne sera pas simplement la meilleure sur la glace, mais aussi la meilleure en gestion d’effectifs par les entraîneurs. Mettre les bons éléments au bon moment et bien reposer ceux qui en ont besoin peut faire une différence dans une saison écourtée comme celle-ci.

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En Prolongation

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Tirage !


Crédit image entête, Press Big



 

Marc-André Breault
 

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