Jokes de papa | Le match des étoiles !

Je ne le répéterai jamais assez, mais ce que j’apprécie par-dessus tout de mon poste au Hockey Herald, c’est la liberté la plus totale de laquelle je jouis, lorsque j’écris… Tant que c’est en lien avec le hockey!

Ça tombe bien, même dans la vie de tous les jours, chaque fois où je m’exprime, c’est en lien avec le hockey.

Depuis qu’on se « connaît », dans la mesure où nous ne connaissons même pas nous-mêmes…

Mon Dieu, je me surprends moi-même, aujourd’hui…

Depuis que j’ai commencé à vous écrire, je vous ai parlé d’un nombre impressionnant de sujets, parfois joyeux, parfois tragiques, parfois personnels, parfois dans le but d’encourager une cause. Aujourd’hui, j’ai envie de m’amuser, sans aucun autre but avoué ou inavoué.

Vous avez vu peut-être quelques-unes de mes « œuvres », mais, s’il y a quelque chose qui me fait beaucoup rire, ce sont les jeux de mots ou, comme on les appelle aussi, les « jokes de papas ».

Aujourd’hui, comme je n’ai absolument aucune contrainte réelle, quand j’écris aussi, je vous ai écrit un texte à l’intérieur duquel j’ai volontairement et assurément intégré le plus de jeux de mots possible. Évidemment, mon thème était celui du hockey.

J’y ai intégré 63 noms d’équipes de hockey de plusieurs ligues différentes dont : la LNH, la LHJMQ, la LNAH et la Ligue midget AAA du Québec.



Sur ce, je vous remercie encore une fois d’embarquer à patins joints… Comme si les lacets étaient emmêlés… Dans ma folie, où qu’elle m’emmène. Vous êtes prêts? On part en direction du match des étoiles des jokes de papas qui se tient, cette année, en direct de ma tête en constante ébullition, comme un chaudron de pâtes, pendant que, en même temps, je navigue sur Facebook.

Tout est hockey

Ce soir, que vous ayez les BLUES ou non, gardez tout PRÈS-DATEUR et calepin, car c’est une autre journée où il y aura du bon hockey qui va se jouer… Pour la première fois, pas comme quand faute de mieux, on nous repasse pour une énième fois, les matchs des séries éliminatoires de 1993.

En bon CANADIENS, nous avons besoin de peu, pour être heureux: un peu de Burger KINGS, un vieil épisode du Roadrunner et du COYOTES, un bon vieux rouleau de bonbons ROCKETS, et, si quelqu’un a empesté les toilettes, KRAKEN allumette et, même aux toilettes, tu SABRES le champagne…

JETS go, on est parti pour une belle soirée!

Il y a quelque chose de nostalgique, avec notre sport national…

Je me rappelle, quand le vieil entraîneur, au village, monsieur Ti-MÉ-PAUL, LIFtait toute l’équipe, dans son vieil Aerostar…

B-b-b-b… Allez, je dois arriver, avant huit heures…



B-b-b-BRUINS!

Vroum, vroum… MAROON!!

C’est vivant! C’est vivant, ouais!!!

Voyant l’urgence CAPITALS qu’elle servait, même les SÉNATEURS, au Parlement, n’auraient pu empêcher la vieille Bertha de conduire les jeunes joueurs, au son de Baby-SHARKS…

Doo, doo, doo, doo..

D’après moi, quand les enfants étaient de retour, chez eux, les succès rock recommençaient à se faire entendre…

Here I am… Rocking like a HURRICANES!

Ou bien: every time, you call my name, I heat up, like a bird in FLAMES! abra, abra, cadabra… I wanna reach out to Granby!

Je sais que, pour les non-initiés et pour ceux aiment leur confort et leur siège de toilette en mousse, un amphithéâtre peut sembler pour le moins inhospitalier, mais, CAN-TON-NIER, on oublie le froid et les bancs moyennement accueillants…

C’est ce que j’aime, de mon sport, c’est un sport hautement démocratique: n’importe qui peut apprécier le spectacle, et ce, grâce aux prouesses de haute VOLTIG-EURS après heures.

Comme dirait l’autre: « ce n’est pas fini, tant que ce n’est pas terminé. On ne sait jamais qui repartira avec les points, ou qui repartira, avec des points de suspension, car il est possible, jusqu’au son de la sirène, qu’un lancer, comme ça, par has(H)AR-FAN(G)de la brigade défensive et déculotte le gardien de but.

Le hockey rassemble tout le monde, même ceux d’âge JUNIOR, où que vous soyez: que vous ressentiez la brise OCÉANIC, jusqu’aux abords de la SAINT-FRANÇOIS, ou que vous soyez aussi SAGUENÉEN qu’un vrai beluet… La la…

Ce sport est fait, pour vous, que vous soyez le dernier REMPART, de votre lieu de travail, ou que vous soyez fou d’amour, FOR-EUR.



Vous ne souffrez pas de CATARACTES, si vous me voyez, complètement ahuri, devant les OLYMPIQUES, car le hockey me fait cet effet. HUSKIE est beau, mon hockey, et ça ne me dérange pas, que vous ne soyez pas DRAKKAR, avec moi.

Historiquement, le hockey a toujours uni les peuples, même celui des DRAVEURS et celui de leurs VOISINS, les ÉPERVIERS. C’est aussi magique que ça!

Le hockey m’enivre et fait de moi un vrai TITAN. SEA-DOG Vachon venait, pour me défier, même s’il me dit qu’il s-ARMA-DAns sa voiture, je lui dirais de se calmer: qu’il peut bien se déboucher une WILDCAT, de Labatt, ou une MOOSEHEAD, de Halifax, à moins qu’il ait apporté un long-jeu des EAGLES, rien ne me fera manquer une seconde de hockey…

Sorry, my english, but I want to pogne…

… and I’m a little hockey MAINE-IACS…

Si vous préférez vous fier à l’opinion d’un expert, vous pourrez toujours trouver une chronique du vieux TIGRES, Michel Bergeron.

D’ailleurs, pour ceux qui commencent, dans le domaine, ne pensez pas, comme Louis-José Houde: « L’Étranger » n’est pas une ville, et « l’Aveuglette » n’est pas un joueur, car, oui, au sein de quelques équipes, ce joueur est surutilisé…

Le hockey, c’est tellement plus que ce qui se passe, en territoire zamboniste. Ça va du « toc, toc, DUCKS, j’aimerais un bon hot-dog froid et une bière chaude, S’il vous plaît. »



Quand je pense au hockey, je pense aussi au bla-bla-bla futile, entre les périodes : bla, bla, BLA-COCX-ys et « terminus » valent cher, au scrabble…

Comment oublier les prédictions se rapprochant de l’astrologie, faites par les gérants d’estrades: iii, bob-OY-LERS gardien, c’est Grubauer? Gros Bauer? En tout cas, il est bon, lui… Sapristi!

Mon hockey, t’es beau… Que ce soit au domicile du WILD de Windsor, des SHARKS de East Angus, ou même, dans les ruelles, avec des buts délimités avec des CAN-O.K.?

Je le sais que, chaque fois où quelqu’un ose exprimer une opinion positive, il reçoit une AVALANCHE de négativisme, dans lequel il se noie: blou, blou, BLUE-JACK-ET ben bon pour faire son grognon…

Hey, gang, on a retrouvé le schtroumpf grognon… Il déverse son fiel, à tout vent, sur Facebook…

Ah, je me souviens, quand, sur la patinoire, j’étais une NORTH STARS. Sur la glace, c’était toujours la guerre des étoiles…

J’avais toujours l’étrange impression qu’un directeur général m’observait, à travers les STARS vénitiens de son bureau…

Je n’oublierai jamais l’ambiance électrisante. Tout partout, je voyais des verres de Bud LIGHTNING. Quand je fermais les yeux, je n’entendais qu’Axelle RED-WINGS Buffalo se faisant engloutir goulûment…

J’aime, j’aime tes yeux. J’aime ton odeur, tous tes gestes en douceur, lentement dirigés… Sangsue alitée…

Une partie de moi détestait l’autre équipe du village… Ils avaient les moyens de se payer des PANT-ERS. Ouin, ils sont chanceux, eux…

À l’inverse, je me sentais solidaire des autres équipes moins fortunées arborant des équipements qui TRASH-ERS aussi…

Un peu comme les Francophones et les Irlandais qui se sont alliés, contre les Britanniques, j’imagine…



Que j’étais heureux, quand je voyais cette équipe, qui pue et qui commet DE-VILS, de carte de cafés gratuits et de bouteilles vides, descendre au classement. Pas de farces, je les détestais autant que le PENGUINS, dans Batman. Que j’étais contrarié, quand ils remontaient, au tableau, tel un PHOENIX.

Je crois que, pour vivre pleinement, ce style de vie, il faut vouloir déclasser toutes les équipes, même ceux du MISL-AND-ERS aussi. Avec moi, ça a toujours été toutou pantoute.

Pfffff, ça a l’air que, dans le Mile-End, jusque dans le vestiaire, ils RANG-ERS. Pas nous… La vie est trop courte! Que dire de ceux qui agencent leurs chaussettes… Oui, il y en a qui font ça! Je le sais, je l’ai vu, dans un FLYERS!

WHA-LERS chandails sont beaux et ne sentent pas la coquille de Saint-Jacques, je sais. Ouais, ouais, je sais…

À tous ceux qui lisent ces lignes, à tous ceux, un peu chauvins, qui se disent : » Haaaan, sur la Sainte-Catherine-NORD-I-Connaissent pas leur hockey! » ou peu importe votre équipe préférée…

À une exception près… Si tel est votre cas, FAUCON se parle… vraiment.

Et laissons toute hiérarchie en fonction des CAST-ORS de notre collectivité.

Je vous souhaite une journée radieuse et, ensuite, une GOLDEN-(K)NIGHT, bercée par la douce berceuse d’une sirène de but… et par le doux effluve d’un vestiaire qui ne sent pas le « push-push en cacanne »

Ouep… Elle est belle, la vie!

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Tirage !
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Crédit image entête, leclubecole.com



David Leboeuf
 

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