Les Flames ont confirmé Ward dans ses fonctions
En relevant Bill Peters, poussé vers la sortie après le dévoilement de comportements répréhensibles tenus par l’homme de hockey, Geoff Ward, alors entraîneur associé, s’amenait à la tête de l’équipe en tant que coach intérimaire.
Finalement, malgré une exclusion rapide en séries, Ward aura suffisamment bien fait pour qu’on retire le terme « interim » au bout de la mention de poste. Du même coup, il est officiellement devenu le 20e entraîneur de la franchise. Sa fiche de 24-15-3 se voulait une sérieuse amélioration par rapport au rendement de Peters : 12-12-4.
Pour ceux qui sont déçus de ne pas voir un gros nom comme Babcock ou Laviolette débarquer à Calgary, il faut se rappeler que c’est parfois une bonne chose que de pouvoir compter sur un peu de sang neuf. À 58 ans, et après avoir roulé sa bosse depuis la saison 2007-08 en tant qu’assistant coach à Boston, avec qui il a remporté la coupe Stanley en 2011, et au New Jersey, il est temps de lui donner sa chance.
Cette nomination ne fera pas beaucoup de bruit, mais elle est pleinement méritée !
… Surtout qu’avec quatre entraîneurs différents depuis 2016, il est évident que le problème ne vient pas seulement de derrière le banc.
Pour ceux que ça intéresse, Geoff Ward, en plus de mettre la main sur le trophée de l’entraîneur de l’année cette saison-là, a guidé les Bulldogs de Hamilton en Finale en 2002-03, avec Jason Ward et Michael Ryder comme deux meilleurs pointeurs de l’équipe. Ty Conklin était alors le partant du club-école et on avait bon espoir que Marian Marcel Hossa se développe bien…
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Crédit image entête, TheHockeyWriters.com