La folie des salaires
Et si on parlait d’argent aujourd’hui ? Oui, ce fameux sujet tabou, ici, au Québec.
Cependant, ne parlons pas de petits salaires. Non, parlons des revenus des athlètes professionnels, tout sports confondus, et admirons la folie des folles dépenses.
Je me promenais sur la planète Twitter lorsque je suis tombé sur le tweet ci-dessous. Un tweet d’Allan Walsh, l’agent de certains sportifs dont le Québécois Marc-André Fleury.
There are no NHL players among the top 100 highest paid athletes in 2022. Just the way Gary’s triple cap, hard salary cap was intended to operate. pic.twitter.com/u3SI2lwiJx
— Allan Walsh (@walsha) October 14, 2022
Il n’y a aucun joueur de la LNH parmi le top-100. C’est fou, non ? Surtout considérant que quelques-uns scandent constamment que les joueurs du circuit Bettman sont trop chers payés.
Bon, je suis d’accord que lorsqu’on gagne entre 5 et 10 millions annuellement, nous ne sommes pas à plaindre non plus. Mais n’est-il pas fascinant de voir que même un joueur de criquet obtient une place dans le top-100 ? Oui, évidemment, le criquet est un sport populaire dans certaines zones géographiques, mais le hockey l’est tout autant au Canada. C’est clairement une question de population, alors que l’Inde compte plus d’1,5 milliards de citoyens. Ça aide grandement à faire augmenter la valeur des sponsors disons.
Du côté de la LNH, nous n’avons pas été en mesure de trouver des chiffres concrets à jour, mais il y a fort à parier que le nouveau visage de la ligue depuis quelques années, Connor McDavid, obtient de beaux chèques de paie. Néanmoins, ce n’est pas suffisant pour faire sa place dans le top-100.
Pour accéder au tableau complet, c’est juste ici.
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Crédit image entête, LA PRESSE CANADIENNE / JASON FRANSON
