Mon hockey, t’es beau
Tout est hockey!
Depuis quelques jours, que vous ayez les BLUES ou non, vous gardez tout PRÈS-DATEUR et calepin, car nous avons assisté, avec excitation et un brin d’espoir, il faut l’avouer, au retour du hockey.
En bon CANADIENS, nous avons besoin de peu, pour être heureux: un peu de Burger KINGS, un vieil épisode du ROADRUNNERS et du COYOTES, un bon vieux rouleau de bonbons ROCKETS, et, si quelqu’un a empesté les toilettes, KRAKEN alumette et, même aux toilettes, tu SABRES le champagne…
JETS go, on est partis, pour une belle soirée!
Il y a quelque chose de nostalgique, avec notre sport national…
Je me rappelle, quand le vieil entraîneur, au village, monsieur Ti-MÉ-PAUL, LIFtait toute l’équipe, dans son vieil Aerostar…
B-b-b-b… Allez, je dois arriver, avant huit heures…
B-b-b-BRUINS!
Vroum, vroum… MAROON!!
Comme le criait Ace Ventura, dans son premier film: « C’est vivant! C’est vivant, ouais!!! »
Voyant l’urgence CAPITALS qu’elle servait, même les vieillissants SÉNATEURS, au Parlement, n’auraient pu empêcher la vieille bertha de conduire les jeunes joueurs, au son de Baby-SHARKS…
Doo, doo, doo, doo..
D’après moi, quand les enfants étaient de retour, chez eux, les succès rock recommençaient à se faire entendre…
« Here I am… Rocking like a HURRICANES! »
Ou bien: « Every time, you call my name, I heat up, like a bird in FLAMES! abra, abra, cadabra… I wanna reach out to Granby! »
Je sais que, pour les non-initiés et pour ceux aiment leur confort et leur siège de toilette en mousse, un amphithéâtre peut sembler pour le moins inhospitalier, mais, CAN-TON-NIER, on oublie le froid et les bancs moyennement accueillants…
C’est ce que j’aime, de mon sport, c’est un sport hautement démocratique: n’importe qui peut apprécier le spectacle, et ce, grâce aux prouesses de haute VOLTIG-EURS après heures.
Comme dirait l’autre: « ce n’est pas fini, tant que ce n’est pas terminé. On ne sait jamais qui repartira avec les points, ou qui repartira, avec des points de suspension, car il est possible, jusqu’au son de la sirène, qu’un lancer, comme ça, finisse p(H)AR-FAN(G)dre la brigade défensive et déculotte le gardien de but.
Et, quand la sirène retentit, peu importe l’issue du match, et peu importe qui repart avec les points:
« On est trop fiers des BOYS, pour s’laisser faire. On est trop fiers des Boys, pour perdre la guerre! »
Le hockey rassemble tout le monde, même ceux d’âge JUNIOR, où que vous soyez: que vous ressentiez la brise OCÉANIC, jusqu’aux abords de la SAINT-FRANÇOIS, ou que vous soyez aussi SAGUENÉEN qu’un vrai beluet… La la…
Ce sport est fait, pour vous, que vous soyez le dernier REMPART, de votre lieu de travail, ou que vous soyez fou d’amour, FOR-EUR.
Vous ne souffrez pas de CATARACTES, si vous me voyez, complètement ahuri, devant les OLYMPIQUES, car le hockey me fait cet effet. HUSKIE est beau, mon hockey, et ça ne me dérange pas, que vous ne soyez pas DRAKKAR, avec moi.
Historiquement, le hockey a toujours uni les peuples, même celui des DRAVEURS et celui de leurs VOISINS, les ÉPERVIERS. C’est aussi magique que ça!
Le hockey m’enivre et fait de moi un vrai TITAN. SEA-DOG Vachon venait, pour me défier, même s’il me dit qu’il s-ARMA-DAns sa voiture, je lui dirais de se calmer: qu’il peut bien se déboucher une WILDCAT, de Labatt, ou une MOOSEHEAD, de Halifax, à moins qu’il ait apporté un long-jeu des EAGLES, rien ne me fera manquer une seconde de hockey…
Sorry, my english, but « I want to pogne »…
… and I’m a little hockey MAINE-IACS…
Si vous préférez vous fier à l’opinion d’un expert, vous pourrez toujours trouver une chronique du vieux TIGRES, Michel Bergeron.
D’ailleurs, pour ceux qui commencent, dans le domaine, ne pensez pas, comme Louis-José Houde: « L’Étranger » n’est pas une ville, et « l’Aveuglette » n’est pas un joueur, car, oui, au sein de quelques équipes, ce joueur est surutilisé…
Le hockey, c’est tellement plus que ce qui se passe, en territoire zamboniste. Ça va du « toc, toc, DUCKS, j’aimerais un bon hot-dog froid et une bière chaude, S’il-vous-plaît. »
Quand je pense au hockey, je pense aussi au bla bla bla futile, entre les périodes : bla, bla, BLA-COCX-ys et « terminus » valent cher, au scrabble…
Comment oublier les prédictions se rapprochant de l’astrologie, faites par les gérants d’estrades: iii, bob-OY-LERS gardien, c’est Samuel Hlavaj… La vache!
Mon hockey, t’es beau… Que ce soit au domicile du WILD de Windsor, du DISTRIBUTION PAYEUR HC, ou même, dans les ruelles, avec des buts délimités avec des CAN-O.K.?
Je le sais que, chaque fois où quelqu’un ose exprimer une opinion positive, il reçoit une AVALANCHE de négativisme, dans lequel il se noie: blou, blou, BLUE-JACK-ET ben bon pour faire son grognon…
Hey, gang, on a retrouvé le schtroumpf grognon…
Il déverse son fiel, à tout vent, sur Facebook…
Ah, je me souviens, quand, sur la patinoire, j’étais une NORTH STARS. Sur la glace, c’était toujours la guerre des étoiles…
J’avais toujours l’étrange impression qu’un directeur général m’observait, à travers les STARS vénitiens de son bureau…
Je n’oublierai jamais l’ambiance électrisante. Tout partout, je voyais des verres de Bud LIGHTNING. Quand je fermais les yeux, je n’entendais qu’Axelle RED-WINGS Buffalo se faisant engloutir goulûment…
J’aime, j’aime tes yeux. J’aime ton odeur, tous tes gestes en douceur, lentement dirigés… Sangsue alitée…
C’était magique. Dès que cette sirène laissait entendre son chant aussi agréable que le chant d’un coq, je n’étais plus un adolescent qui avait du mal à se traîner. Non. Je devenais un ailier DYNAMIK. Même si je venais de me claquer deux « steamés », j’étais aussi affamé qu’un COUGAR.
… Pas celui de Mercury… Pire.
Moi qui étais déjà un grand sensible, je n’étais plus LAVIOLETTE africaine de ma famille. Non. Je devenais aussi terrifiant qu’un BISONS chasseur de vampires…
Ouais… Un bison chaussé de NORDIK BLADES.
Pareil comme Wesley Snipes, dans son vieux film!
Non, je n’avais plus de yeux d’hommes… Non, j’avais des yeux de LYNX!
Je n’étais plus un CHEVALIER… Non.
Encore mieux, j’étais un chevalier O’Keefe!
Une partie de moi détestait l’autre équipe du village… Ils avaient les moyens de se payer des PANT-ERS. Ouin, ils sont chanceux, eux…
À l’inverse, je me sentais solidaire des autres équipes moins fortunées arborant des équipements qui TRASH-ERS aussi…
Un peu comme les Francophones et les Irlandais qui se sont alliés, contre les Britanniques, j’imagine…
Que j’étais heureux, quand je voyais cette équipe, qui pue et qui commet DE-VILS, de carte de cafés gratuits et de bouteilles vides, descendre au classement. Pas de farces, je les détestais autant que le PENGUINS, dans Batman. Que j’étais contrarié, quand ils remontaient, au tableau, tel un PHOENIX.
Je crois que, pour vivre pleinement, ce style de vie, il faut vouloir déclasser toutes les équipes, même ceux du MISL-AND-ERS aussi. Avec moi, ça a toujours été toutou pantoute.
Pfffff, ça a l’air que, dans le Mile-End, jusque dans le vestiaire, ils RANG-ERS. Pas nous… La vie est trop courte! Que dire de ceux qui agencent leurs chaussettes… Oui, il y en a qui font ça! Je le sais, je l’ai vu, dans un FLYERS!
WHA-LERS chandails sont beaux et ne sentent pas la coquille de Saint-Jacques, je sais. Ouais, ouais, je sais…
À tous ceux qui lisent ces lignes, à tous ceux, un peu chauvins, qui se disent : » Haaaan, à Ham-NORD-I-Connaissent pas leur hockey! » ou peu importe votre équipe préférée…
À une exception près… Si tel est votre cas, FAUCON se parle… vraiment.
Et laissons toute hiérarchie en fonction des CAST-ORS de notre collectivité.
Je vous souhaite une GOLDEN-(K)NIGHT, bercée par la douce berceuse d’une sirène de but…
…et par la douce effluve d’un vestiaire qui ne sent pas le « push-push en cacanne »
Ouep… Elle est belle, la vie!
(Nombre d’équipes mentionnées dans cet article: 75)
Liens:
Ligue régionale de hockey
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Ligue de hockey junior majeur du Québec:
Lhjmq.qc.ca
Ligue nationale de hockey:
Nhl.com
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Crédit image entête, NHL.com